La locomotive Corpet - Louvet de la C.F.D en gare de Rouillac, scène de préparation de la machine et chargement de la marchandise.
La photographie aérienne du quartier des cinq gares d'Angoulême en 1922 montre une époque ou le chemin de fer était à son zénith. Quatre gares sont visibles sur cette image: La gare de la "P-O" (le grand bâtiment en haut à gauche), la gare de l'État au centre à gauche (en vis à vis de la gare P-O.). La gare des économiques "échange" à gauche du quart de rotonde en bas de l'image. Et enfin, la gare de la C.F.D repérée par la flèche noire, construite entre les deux grandes gares.
La gare de la C.F.D était approximativement située au niveau du premier pylône d'éclairage. Le bâtiment n'était pas imposant, mesurant environ 12 mètres de long sur 6 de large.
Photo de la gare de la C.F.D au centre de l'image. Document trouvé sur le web. Le cliché date juste après-guerre. La route où sont les cyclistes deviendra l'actuel boulevard Lattre de Tassigny.
Voici le carrefour de la Madeleine tel qu'il était avant la rénovation du quartier de la gare et de la Madeleine. Imaginez vous sur l'actuel rond-point de la fontaine, regard tourné vers le centre ville. Les voies que l'ont voit en contrebas sont devenues une route sous le rond-point. Cette route est aujourd'hui le boulebard Lattre de Tassigny. Sur la photo, la rue à droite était l'ancienne route de Limoges, qui est maintenant une impasse. A l'extrémité de cette rue se trouvait un pont qui enjambait les voies de la ligne Paris Bordeaux.
Le quartier des gares juste après les bombardements de 1944. Les deux voies de gauches sont à la compagnie de l'État, ligne de Limoges. La ligne à droite avec l'aiguillage était la ligne de la C.F.D, ligne de Rouillac
Pour quitter Angoulême, la voie passait par cet endroit, à droite de la maison. Rue de la Madeleine à l'étang.
puis franchissait les lignes de Limoges par dessus ce pont, puis marquait un arrêt au niveau de la maison blanche.
Puis traversait avenue de la République le pont des lignes de Angoulême - Paris. Vous pouvez observer les vestiges de rails provenant de la ligne C.F.D, emprisonnés dans le goudron. Un autre fragement de voie se situe vers Douzat.
Angouleême, sur la route de Paris. Entre l'impasse Védrines et l arue neuve, la voie descend vers Gond-Pontouvre Ce n'est peut-etre pas une photo remarquable mais elle sert à rappeler que les passages des voies ferrées dans les villes et villages ont parfois très surprenants. Il est évident que beaucoup ignorent qu'une ligne de chemin de fer pouvait passer par ces endroits là. Des rails qui se faufilent entre deux maisons restent une vision insolite
La vue dur Gond-Pontouvre montre la descente de la voie vers la route de Vars. La grande maison visible à droite de la photo est toujours présente de nos jours. Elle se situe à l'angle de la rue de l'Egalité, qui mène à la mairie, et la rue Jean Jaurès.
Au Gond-Pontouvre route de Vars, c'est ici qu'il y avait un pont de quelques mètres de hauteur pour franchir la route. Ce pont était au niveau du passage piéton. Le détail de cet endroit avec la photo suivante.
Cette photo aérienne oblique présente le secteur de Gond-Pontouvre, mettant en évidence la confluence de la Touvre et de la Charente. Une flèche indique le tracé de la route qui traverse la ville et continue vers Saint-Yrieix. On remarque que cette route est surélevée par rapport au niveau du sol.
Le grand pont qui traverse la Charente se trouve derrière le bâtiment du club de boules. Le pilier du pont a été préservé grâce à la construction du local des boulistes.